{ Double Chronique } Jacques Prévert n'est pas un poète / La mémoire des Pierres
*Cela fait un certain temps que j'ai lu ces ouvrages, alors mon avis risque d'être un peu brouillon. Je m'en excuse. De plus elles sont courtes et pas du tout construitres mais, je ne savais pas faire mieux.
**Au même titre, si je fais une chronique double c'est que j'ai à peu près le même avis sur ces deux ouvrages
**Au même titre, si je fais une chronique double c'est que j'ai à peu près le même avis sur ces deux ouvrages
Le quartier de Montparnasse au coeur des années 1920 : ses fêtes enivrantes, ses débats littéraires, ses artistes de mille et un univers.
De retour de son service militaire en Turquie, Jacques Prévert y fréquente l'avant-garde de cette époque, entre Louis Aragon, Robert Desnos ou André Breton avec lesquels il écrit quelques-unes des plus belles pages du surréalisme. Ce mouvement, beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d'une machine à écrire et d'un parapluie, éclatera finalement tandis que Prévert se met à côtoyer Giacometti, Carné ou Pierre Batcheff, qui l'entraîneront vers une carrière de scénariste et la création de la troupe Octobre.
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Un album qui me paraissait vraiment intéressant mais qui c'est avéré plus que brouillon et vraiment pas à mon goût.
Comme je viens de le dire, autant l'histoire que les dessins sont brouillons donc ; je n'ai pas grand chose à dire sur cette ouvrage.
Malgré tout, j'ai apprécié l'ambiance de Paris, car en soit c'est une ville que j'adore à la base.
Marcellin Legrand habite le petit village des Anoures, dans la vallée du Crapîre. Son enfance heureuse, entre traditions et contes folkloriques, s'écoule paisiblement auprès de sa famille, malgré les rivalités avec les Lehane et le spectre de la guerre, au sortir de laquelle il rencontre l'envoûtante Isabelle. Leur amour, aussi fulgurant qu'éternel, n'éclipse pourtant pas la passion de Marcellin pour les pierres, qu'il sculpte en de merveilleuses figures. Le jeune garçon décide de rejoindre les Compagnons du Devoir pour devenir carrier. Une décision dont il n'aurait jamais imaginé les conséquences...
Conte fantastique, drame historique, "La mémoire des pierres" contient en germe tous les thèmes chers à René Hausman. Cette oeuvre inachevée, sur un scénario de son épouse Nathalie Troquette et de Robert Reuchamps, est à la fois une immersion dans les coulisses de la création et l'ultime révérence du dessinateur verviétois au monde de la bande dessinée. Le label "Aire Libre", qui avait déjà édité nombre de ses chefs-d'oeuvre, célèbre l'artiste dans cet ouvrage hybride au tirage limité, réunissant le script et le story-board complets ainsi que les premières planches réalisée
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Comme je le disais, pour le roman précédent encore un fois, j'ai trouvé l'histoire brouillon. Cette fois cela était dût aux dessins. Et puis, ce n’était pas agréable à lire dans le sens où sur la page de droite nous avions les dessins et sur celle de gauche, les notes retranscrites
Malgré tout, j'ai aimé "redécouvrir" une partie de l'histoire à la fin, où les bulles étaient remises aux goût du jour et où l'on comprenait bien mieux.
Notes des deux ouvrages :
5/20
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